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Référencement naturel SEO : comment j’ai surmonté mon blocage de la page blanche ?

Il est vrai que je suis aujourd’hui très active dans la création de contenu. Je parle sans soucis de référencement naturel SEO, de trafic qualifié, de moteurs de recherche ou de stratégie de contenu.

Je suis hyper à l’aise sur le sujet, et je prends réellement plaisir à partager mon expérience sur les réseaux ou mon site web.

Alors, oui, je m’éclate sur le sujet du SEO, je pourrais en parler des heures et des heures. Mais, sache que ça n’a pas toujours été le cas !

Quand j’ai appris le référencement naturel à titre professionnel en 2020, j’ai été plongé dans un monde complètement inconnu. Et la réaction chez moi ne s’est pas fait attendre : j’ai fait un gros blocage, et je n’arrivais plus à écrire des articles de blog.

Un peu problématique quand tu voulais vivre de la rédaction web SEO

Je te partage comment j’ai réussi à faire amie-ami avec le SEO en toute transparence dans cet article.

Ma découverte du référencement naturel SEO. 

Des articles de blog, j’ai commencé à en écrire en 2003. Cela fait un paquet de temps.

À  cette période, j’étais étudiante, je découvrais Skyblog, et je postais plusieurs fois par jour. Je répondais à la seconde aux commentaires. Souvent, je proposais du contenu sur ce qui m’était demandé.

Sans le savoir à ce moment-là, je rentrais complètement dans le jeu des algorithmes des moteurs de recherche, et notamment de Google. Mon nombre d’abonnés (oui, on pouvait s’abonner aux blogs !) et ma visibilité ont explosé.

Tout ça était un loisir entre 2 cours à la fac et un job étudiant.

En 2020, quand j’ai pris la décision de vivre de ce contenu, je me suis formée à la rédaction web. Si au départ, je retrouvais des connaissances que j’avais, on est vite tombé sur un monde inconnu pour moi : le référencement naturel SEO.

Et là, j’ai (presque) envie de dire : et là, c’est le drame !

Le SEO, en 2020, n’était pas exactement le même, et les règles non plus. L’optimisation prenait beaucoup plus le pas sur le côté « humain » de l’article.

La formatrice a donc énoncé toutes les règles de l’optimisation d’un article de blog. Franchement, avec le recul, je pourrais parler même de sur optimisation.

Bref, on a tout vu en formation : les mots-clés, les mots secondaires, la structure d’un article, les métadonnées, … Tout ce qu’on doit savoir pour écrire un article optimisé SEO.

Mon blocage pour écrire des articles de blog.

Dans l’absolu, la technique SEO que j’ai apprise sur cette période, je l’ai vite compris et assimilé.

Mais viens le moment où nous devons passer à la rédaction d’articles de test. Et là, c’est le (re) drame !

Je n’arrive tout simplement pas à écrire mes articles. Poser des mots me semble lourd, mes phrases sont imbuvables, … Je construis mentalement un squelette d’article techniquement poussé sur le SEO. Mais quand vient le moment de « remplir les trous » avec du texte… je meuble !

J’écrivais des articles déjà depuis de très nombreuses années, alors j’avais en tête que ce serait assez simple. Limite, je me disais « finger in the nose ». Et là… Je n’arrive à rien sortir…

Pour valider la formation, il faut évidemment rendre du contenu écrit. Tous les articles sont laborieux à rédiger. Et les retours de la formatrice ne se font pas attendre : mes contenus sont lourds, pas agréables à lire, et on sent clairement que je galère.

Bref, on souffre : autant le lecteur que moi !

Je n’arrive pas à écrire un article en l’optimisant pour le référencement naturel SEO. Soit je fais l’un, soit je fais l’autre…

Je me rappelle qu’à cette période, j’échange pas mal avec la formatrice. Il en ressort rien de très constructif, à part que si je n’arrive pas à passer cette étape, mieux vaut oublier mon projet d’être rédactrice web SEO.

Je t’avoue que ça ne m’a pas du tout mis de pression 😂 …

Pour le coup, comme j’écrivais des articles de blog depuis des dizaines d’années, j’étais convaincue de pouvoir le faire.

Mais j’ai bien compris que toutes ces règles de SEO me plombaient et m’empêchaient d’utiliser ma plume avec plaisir.

Le point de basculement : voir le référencement naturel SEO comme un défi plutôt qu’une corvée.

À ce moment-là, il y avait deux solutions viables :

  • Soit j’arrête d’écrire des articles, et je ne deviens pas rédactrice web SEO.
  • Soit je prends le taureau par les cornes, et j’arrête de me braquer sur le sujet.

Comme tu t’en doutes, j’ai choisi la deuxième solution ! Je t’explique un peu ce qui a fonctionné pour moi.

Oui, j’aurai pu rapidement tomber dans le « je suis nulle », « j’arriverai jamais à utiliser le référencement naturel », « le SEO, c’est trop compliqué, ce n’est pas pour moi »,…

Et je ne peux pas te dire que je n’ai pas eu de périodes de doute et de pleurs…

Néanmoins, j’ai décidé de prendre les choses autrement :

  • J’écris des articles de blog depuis des années et j’aime ça.
  • Je suis perdue, car je ne maîtrise pas le sujet.
  • Je peux y arriver !

Au lieu de me démolir, et comme j’étais convaincue par le pouvoir de la stratégie de contenu blog, j’ai décidé d’avoir un mindset complètement différent.

C’est normal que ce soit dur en ce moment. C’est normal que mes articles ne soient pas terribles. Je débute et le SEO n’est pas encore naturel pour moi.  

Avec de l’entraînement, je vais y arriver !

À cette période, j’ai décidé d’ouvrir un blog lifestyle pour partager sur ma passion de la langue coréenne et de la Corée du Sud.

J’ai donc repris la rédaction d’articles plaisir. Au début, sans faire d’optimisation SEO, juste pour reprendre le plaisir d’écrire et de publier sur le web.

Puis, peu à peu, j’ai décidé de tester, sans enjeux particuliers, ce que j’avais appris. J’ai commencé par choisir un mot-clé, puis optimiser les métadonnées, ou insérer un champ lexical plus riche à mon texte. Bref au fur et à mesure, j’ai testé.

Sans prise de tête, j’ai d’abord écrit les articles, puis j’ai appliqué des techniques de référencement naturel ici ou là. Je n’ai pas partagé mes articles, ni mis d’objectifs marketing dessus.

C’était mon plaisir à moi. J’ai également intégré un webzine à cette période. Dessus, je suis éditrice. C’est-à-dire que je contrôle l’optimisation SEO de chaque article avant sa publication.

Oui, oui, tu as bien lu ! C’était une des meilleures décisions que j’ai prises. Grâce à ça, j’ai pu prendre du recul sur le sujet, et voir la stratégie de contenu d’un autre point de vue.

Bien que j’aie compris en quoi consistait le référencement naturel, je n’arrivais clairement pas à l’appliquer sur mes articles de blog.

Du coup, j’ai décidé de lire davantage sur le sujet et d’acheter également une autre mini-formation dédiée uniquement au SEO.

Je voulais conforter mes acquis, et dédramatiser le sujet.

Cette étape m’a encore aidé à arrêter de voir le SEO comme quelque chose de négatif et de forcément horrible pour la personnalité de mes contenus.

Oui, je peux rester moi-même, même avec un texte optimisé SEO.

Non, le SEO ne va pas robotiser mes articles… uniquement s’il est bien fait et bien proportionné !

C’est à ce moment que j’ai compris la différence entre :

  •  un article optimisé SEO (agréable pour le lecteur et en accord avec les algorithmes Google)
  • Et un article sur optimisé SEO (qui ressort super bien sur le SEO, mais qui plombe tes stats de site tellement la lecture n’est pas agréable.).

Toute la différence était là et mon blocage était levé : je sais écrire des articles en cohérence et pertinents pour ma cible. Je ne sais pas écrire des articles trop poussés pour les robots.

Et comme mon client idéal est un humain… Ça tombe bien !

La dernière étape a été d’écrire du contenu optimisé SEO.

Pour cela, au tout départ, j’ai ouvert mon blog professionnel et j’ai écrit un article par semaine (ce qui est toujours le rythme 3 ans après).

Je me suis aussi inscrite sur des plateformes freelances où j’ai vendu des articles très peu chers.

Mais qui m’ont permis de m’exercer sur des vraies prestations clients.

Depuis, rassure-toi, j’écris 3 à 5 articles de blog optimisés SEO par jour. Je travaille le référencement naturel de mes articles en même temps que je rédige, c’est devenu très naturel. Et je prends réellement plaisir à faire du SEO.

Le référencement naturel SEO est même mon premier canal d’acquisition sur le site. Tu vois, le SEO et moi, on n’est pas du tout fâché !

Je voulais partager avec toi cette expérience pour te montrer que tu n’es pas obligée de souffrir pour faire de la création de contenu stratégique. Parfois, ce que tu as pu lire ou apprendre n’était pas adapté ou simplifié pour que tu puisses réellement comprendre et appliquer le référencement naturel.

C’est pour cela que j’ai créé la mini-formation Déclic SEO. Pour te permettre de trouver toutes les bases indispensables de référencement naturel, mais sans que cela te rende malade ou te bloque dans ta rédaction.

Rejoins la liste d’attente dès maintenant pour ne pas louper la sortie de Déclic SEO le 26 septembre !

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